Chaque mois, retrouvez le témoignage d’un salarié Berner sur son métier et son quotidien. Ce mois-ci, c’est Fabrice, directeur des comptabilités, qui s’est prêté au jeu.
Comment as-tu connu Berner ?
J’ai connu Berner grâce à un ami qui a travaillé dans cette entreprise.
Raconte-nous une journée type de ton métier.
Dans mon métier, il n’y a pas de journée type dans le sens où nous travaillons sur un rythme plus long. Chaque mois, nous définissons en effet le résultat de l’entreprise. Nous menons les analyses qui en découlent et nous produisons les déclarations administratives adéquates.
Cela nécessite un contrôle permanent de ce qui est enregistré ou déclaré, une réflexion sur certaines opérations particulières et une coordination avec les services qui assurent la comptabilité avec nos fournisseurs et nos clients. Le tout en relation avec les services financiers de la holding et les auditeurs afin que tout soit traité dans les temps et de la bonne manière.
Quel aspect te plaît le plus dans ton travail ?
La comptabilité a cette caractéristique de recenser l’intégralité des transactions financières (achats, paie, ventes, taxes, etc.) et de les synthétiser. Elle permet donc d’avoir une vision globale de la bonne marche de l’entreprise et de sa stratégie.
À ton avis, qu’est-ce qui permet à Berner de marquer des points auprès des clients ?
Notre organisation efficace et l’écoute de nos clients. Il y a également une véritable volonté de se remettre en question pour avancer, et bien entendu de bons produits et de bons commerciaux !
Quel est ton produit Berner préféré et pourquoi ?
Je dirais notre soudeur « Flamme bleue » car c’est un produit astucieux et pratique.
Quelle valeur de l’entreprise t’aide le plus dans ton travail ?
Dans un secteur concurrentiel comme le nôtre, il nous faut être courageux et travailler de façon moderne avec les outils les plus adaptés. B.brave (ndlr : être courageux) symbolise cela.
Petit, que voulais-tu faire comme métier et comment le retrouves-tu dans ton job d’aujourd’hui ?
Plusieurs métiers, l’un d’eux était guide de haute montagne. Peut-être cela révélait-il le goût du défi !
