Depuis de nombreuses années, Berner France est engagé dans une démarche de responsabilité sociétale. Cette dernière se traduit par notre quadruple certification QSEEN mais également par des actions en faveur du développement durable. Les questions de l’égalité homme/femme ont toujours fait partie de notre démarche et de nos actions quotidiennes. Pour la journée internationale des droits des femmes, nous mettons en avant nos collaboratrices. Découvrez le témoignage de Nathalie !
Qui es-tu ?
Je m’appelle Nathalie Amichault et suis formatrice sédentaire pour le groupe Berner depuis octobre 2017. Je suis diplômée d’un Master en Technique de Négociation et avant de rejoindre Berner France, j’ai travaillé 13 ans dans le B to B, (dont 8 pour les professionnels du bâtiment). Garder un lien avec cette clientèle que j’affectionne particulièrement, est une des raisons pour laquelle j’ai choisi de rejoindre l’entreprise Berner, forte de sa branche Construction. Mais surtout, je souhaitais donner une nouvelle orientation à ma carrière professionnelle en rejoignant l’équipe de formation Berner. En effet, l’animation de réunion faisait partie de mes anciennes missions et j’avais à cœur de développer cette fonction : passer de l’animation à la formation.
Quelle est ta plus grande réussite personnelle et professionnelle ?
A mon arrivée, j’étais la seule femme formatrice, il était donc important de gagner rapidement la confiance de mes collègues masculins et de prouver ma légitimité dans cette fonction. En effet, nous dispensons des formations commerciales mais également techniques. Et c’est un domaine où l’on attend moins une femme… Pour ce faire, j’ai dû faire preuve de beaucoup de curiosité par rapport aux produits et aux applications. Heureusement, j’ai toujours pu compter sur le partage des connaissances de mes collègues et de certains managers. Et tous les mois, je continue de suivre de près toutes nos nouveautés !
Des conseils à donner aux plus jeunes ?
Je dis souvent qu’il faut être acteur de sa vie et non spectateur pour ne pas avoir de regret. Alors peu importe s’il s’agit de métiers plus masculins que féminins, il faut aller au bout de ses envies. J’ai eu l’occasion de rencontrer des femmes forgeron ou peintre en bâtiment et des hommes standardistes ou sages-femmes et tous forçaient mon respect car au-delà de leur sexe, je ne voyais que des professionnels compétents et épanouis.
